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D’après différents témoignages concordants, la victime qui était en état d’ivresse s’était aventurée la nuit du crime à pénétrer par force dans une maison en l’absence du père. Elle avait cassé la porte et saccagé les meubles, puis traîné l’épouse avec l’intention de l’agresser. Même scène, à quelques mètres, pour s’en prendre à d’autres familles. En réaction à ces actes hostiles, plusieurs habitants du douar ont lancé une chasse à l’homme contre l’agresseur qu’ils ont immobilisé et violement tabassé avant d’appeler les éléments de la gendarmerie Royale qui l’ont découvert dans un état critique.
Transporté le lendemain matin au centre hospitalier Sidi Mohammed Ben Abdellah à Essaouira, la victime a rendu l’âme deux heures après son admission au service des urgences suite à une hémorragie interne. Cependant, il déclara être victime d’une agression commise par deux habitants du douar Lamaytat dont il dévoila les noms.
Interpellés par les services de la gendarmerie Royale, les deux mis en cause ont affirmé être fréquemment agressés et terrorisés par la victime. Malheureusement, aucune plainte ne fut déposée à ce sujet.
A rappeler que la commune rurale de Sidi Boulaalam fut le théâtre d’un horrible crime commis le mois dernier par un imam qui a tué sa femme, dont il découpa et dissimila le corps pendant trois mois dans les fosses septiques de la maison.