-
Abdellatif Hammouchi s'entretient à Rabat avec la Directrice générale de la sécurité intérieure en France
-
Nasser Bourita appelle à une refonte profonde du Partenariat euro-méditerranéen pour en faire un espace de résultats concrets
-
Dubravka Šuica : Le Maroc, un partenaire privilégié de l'UE
-
Azzeddine Farhane : La stratégie proactive du Maroc et son engagement diplomatique font du Royaume "une passerelle" entre les continents

L’appareil, qui avait quitté le Brésil jeudi soir, transportait 201 passagers et un équipage de 12 membres dont trois pilotes, a précisé la porte-parole, assurant qu’il s’agissait d’un «déroutement maîtrisé».
«Les procédures de la compagnie impliquent de se dérouter immédiatement sur l’aéroport de dégagement le plus proche, prévu par le plan de vol : en l’occurrence, c’était Casablanca», a expliqué la porte-parole. Les passagers ont été transbordés pour certains d’entre eux sur un autre appareil arrivé dans l’après-midi à Paris. Mais «la majorité» a pris place à bord d’un avion qui a quitté l’aéroport marocain à 18H39 (heures locale et GMT) à destination de Paris-Charles-de-Gaulle où il était attendu à 22h30 (21H30 GMT), a-t-elle expliqué. Une enquête technique est en cours pour établir les conditions précises de l’incident. Un A330 de la compagnie française s’était abîmé dans l’océan Atlantique au large du Brésil le 1er juin 2009. L’accident avait coûté la vie aux 228 passagers et membres de l’équipage.
Air France et Airbus ont été mis en examen pour homicide involontaire dans ce dossier en mars 2011. L’enquête technique a déterminé une série de défaillances techniques et d’erreurs humaines. Mais les responsabilités pénales n’ont pas encore été établies.