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Le Maroc est appelé à relever plusieurs défis concernant le projet de régionalisation avancé, l’intégrité territoriale, le Statut avancé avec l’UE et les réformes indispensables des institutions politiques et économiques pour ce faire. Tous ces chantiers, a souligné Driss Lachguer, exigent de la part des Ittihadis davantage de mobilisation pour les concrétiser.
Les autres défis à relever, a-t-il ajouté, concernent l’unité de la gauche, qui traverse une phase difficile, au cours de laquelle l’USFP est appelé à jouer pleinement son rôle, ainsi que l’édification de l’Union du Maghreb arabe devenue une nécessité pour le développement économique des populations de la région.
L’USFP était le premier parti à avoir soulevé la question de la régionalisation en 1976 à Béni Mellal au cours de la réunion de sa commission centrale. Il était précurseur en la matière, en estimant que cette option devrait consacrer le processus démocratique au Maroc et constituer une locomotive de développement global et intégré. Mais, malheureusement, la proposition de l’USFP avait fait l’objet d’une campagne médiatique, l’accusant de vouloir désintégrer le pays, a tenu à préciser Driss Lachguer.
Tout en indiquant que le projet de régionalisation est un modèle démocratique et constitue une base idoine et fondamentale pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain, Driss Lachguer a appelé à davantage de vigilance et mis en garde contre les manœuvres de nos ennemis.
Outre ces défis que le Maroc se doit d’affronter, Driss Lachguer a insisté sur celui de la réhabilitation de l’action politique, facteur indispensable pour aller de l'avant dans tous les domaines.