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"L'implication de l'Algérie a été manifeste sur les fronts diplomatique, juridique, financier et militaire depuis la naissance de ce conflit régional. Il est évident que le polisario ne doit sa survie qu’à l’Algérie qui le soutient", a souligné M. Buchanan, également professeur des sciences politiques à l’Université du Rwanda (UR) dans une déclaration à la MAP en marge d’un séminaire régional tenu, samedi à Dar-esSalaam, sous le thème "L’impératif de la relance post-Covid : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle renforcer la stabilité et l’intégration de l’Afrique".
"La diplomatie algérienne soutient ouvertement le polisario et fait de cette question la priorité de sa politique étrangère", a fait observer ce géopolitologue et fin connaisseur du Maghreb, relevant que ce "parrainage indéfectible" fait donc de l’Algérie, dont le "polisario" est le supplétif, une partie réelle à ce conflit artificiel.
Les rapports du Secrétaire général de l’ONU ainsi que les dernières résolutions de son Conseil de sécurité considèrent que l’Algérie est une partie au conflit, une partie dont la responsabilité ne peut être contestée, a poursuivi Dr. Buchanan. Et de conclure que le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour ses provinces du Sud restera la seule solution réaliste pour un règlement définitif de ce différend régional qui n'a que trop duré










