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De six films en 38 ans, le rythme est passé à quatre en deux ans et demi, entre "L'éveil de la force", en décembre 2015, et "Solo: A Star Wars Story", en mai 2018. Le géant du divertissement entendait visiblement appliquer à sa franchise "Star Wars" la même recette que son autre vache à lait, Marvel, et ses 20 films en 10 ans. "J'ai pris la décision de la cadence, et en y repensant, je pense que l'erreur que j'ai faite --c'est ma responsabilité-- a été un peu trop, trop vite", a reconnu Bob Iger, PDG de The Walt Disney Company, dans un entretien au site spécialisé The Hollywood Reporter publié jeudi. Même s'il a rapporté près de 400 millions de dollars dans le monde, d'après le site spécialisé Box Office Mojo, "Solo", dont le budget est estimé, selon plusieurs médias américains, à entre 250 et 275 millions de dollars, a été une déception. Les recettes du film se situent sensiblement derrière les huit volets officiels de la saga, mais sont aussi largement devancées par "Rogue One: A Star Wars Story" (1,05 milliard de dollars) qui, tout comme "Solo", est lié à l'univers "Star Wars", mais ne s'inscrit pas directement dans la série. Par comparaison avec les chiffres faramineux des "Derniers Jedi", le huitième volet de la série officielle, sorti en décembre dernier et qui a raflé 1,33 milliard de dollars aux guichets, le parcours de "Solo" est un coup d'arrêt.