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Une fois encore, le désolant spectacle a été servi au public et au téléspectateur depuis ce même stade d’El Abdi à El Jadida et par les mêmes protagonistes : le Difaâ local et les FAR de Rabat. Une explication au sommet qui devait valoir par son « show » et non pas par des actes de violence, perpétrés par des joueurs. Menés par un but à zéro, les Jdidis n’ont pas manqué de se dépenser pour recoller au score. Vient alors une occasion pour le capitaine des locaux, Reda Riahi, fauché en pleine surface de réparation. L’arbitre du centre a indiqué dans un premier temps le point de penalty, sauf qu’il a vu son adjoint lever son drapeau, signalant qu’il y avait une faute au préalable : Riahi s’était aidé de ses deux mains pour amortir le ballon. Et dans ce cas de figure, c’est la première faute qui est sanctionnée, donc le tir au but est annulé. Décision qui n’a pas été du goût des Jdidis, et voilà que les joueurs voulaient se faire justice eux-mêmes. Triste scène à l’instar de celle du complexe Mohamed Laghdaf à Laâyoune, avec comme vedette des joueurs de la Jeunesse de Massira qui ont pris pour cible l’arbitre à l’issue de leur rencontre face au Raja, soldé sur une issue de parité : un but partout. La JSM avait contesté le penalty accordé aux Verts.
Bref, de tels comportements contre l’esprit même du sport affectent terriblement l’image du football national. Ils révèlent clairement la mentalité fragile des joueurs du cru qui, pratiquement, voient rouge à tous les coups.