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Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
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Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
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Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
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Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Ce traité, mis en place en 2002, visait le développement de la coopération entre les deux pays aux niveaux économique et militaire.
La position de Madrid sur le Sahara marocain est à l’origine de cette discorde.
Alger a toujours nié être concerné ou avoir la moindre implication dans le dossier du Sahara marocain, mais l’annonce par le régime militaire algérien de la suspension de son traité d’amitié et de coopération économique et militaire avec les autorités ibériques prouve tout le contraire.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que Chengriha et ses compagnons avancent des choses et font le contraire de ce qu’ils disent. Les exemples à ce sujet sont légion.
Le communiqué de la présidence algérienne est assez édifiant pour démentir les déclarations de neutralité algériennes.
De son côté, Madrid a fait savoir qu’elle « regrette l’annonce de la présidence » algérienne.
Ahmadou El-Katab