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Des équipes de recherches de Marseille et de Montpellier ont permis à des souris amnésiques de retrouver la mémoire grâce à une greffe de cellules souches humaines.
L'étude préclinique a permis d'analyser les effets d'une transplantation de cellules souches nasales humaines dans le cerveau ou dans le liquide céphalo-rachidien de souris rendues amnésiques, rapporte vendredi l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).
"Quatre semaines après la greffe, des tests comportementaux ont montré que les souris transplantées avaient retrouvé leurs capacités à apprendre et à mémoriser l'emplacement d'un objet ou l'association d'une récompense avec une odeur", indique l'AP-HM dans un communiqué.
"Les animaux greffés ont réalisé des scores similaires à ceux observés chez les animaux non lésés tandis que les souris lésées et non greffées demeuraient incapables de réaliser ces tâches d'apprentissage et de mémorisation", poursuit le texte.
Cette expérience a également permis de restaurer partiellement le "phénomène de potentialisation à long terme", l'un des mécanismes de base de la mémorisation.
Cette étude pourrait ouvrir la voie à un essai clinique sur des patients souffrant d'amnésie soit d'origine traumatique, soit consécutive à une insuffisance de la circulation sanguine dans le cerveau.
Ces recherches se poursuivent par ailleurs sur des modèles animaux de la maladie d'Alzheimer, précisé encore l'AP-HM.
L'étude préclinique a permis d'analyser les effets d'une transplantation de cellules souches nasales humaines dans le cerveau ou dans le liquide céphalo-rachidien de souris rendues amnésiques, rapporte vendredi l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).
"Quatre semaines après la greffe, des tests comportementaux ont montré que les souris transplantées avaient retrouvé leurs capacités à apprendre et à mémoriser l'emplacement d'un objet ou l'association d'une récompense avec une odeur", indique l'AP-HM dans un communiqué.
"Les animaux greffés ont réalisé des scores similaires à ceux observés chez les animaux non lésés tandis que les souris lésées et non greffées demeuraient incapables de réaliser ces tâches d'apprentissage et de mémorisation", poursuit le texte.
Cette expérience a également permis de restaurer partiellement le "phénomène de potentialisation à long terme", l'un des mécanismes de base de la mémorisation.
Cette étude pourrait ouvrir la voie à un essai clinique sur des patients souffrant d'amnésie soit d'origine traumatique, soit consécutive à une insuffisance de la circulation sanguine dans le cerveau.
Ces recherches se poursuivent par ailleurs sur des modèles animaux de la maladie d'Alzheimer, précisé encore l'AP-HM.