-
Report du vote de la résolution sur le Sahara à vendredi 31 octobre
-
Il savait ce qu’il disait ? Ou C’était du n’importe quoi ?
-
Inondations en Espagne : Le Maroc prend part aux funérailles d’Etat en hommage aux victimes
-
Le Groupe socialiste interpelle le gouvernement sur des questions d’ordre social et économique
Ils dénoncent également l'incapacité de la direction à trouver une solution à la situation de dizaines de milliers de résidents des camps qui souffrent le martyre. Ils invitent cette direction à s'engager dans les négociations sur la base du Plan d'autonomie proposé par le Maroc, seule solution, expliquent-ils, susceptible de mettre fin à un conflit qui n'a plus raison d'être.
Ils fustigent, par ailleurs, la mainmise de l'Algérie sur ce dossier, ainsi que les entraves que les autorités algériennes ne cessent de poser à ces négociations qui, selon les tracts, mettront fin aux souffrances des familles séparées des leurs.
La distribution de ces tracts qui démontre le ras-le-bol dans les camps de Lahmada et le désir des habitants de réintégrer la mère patrie, a suscité de violentes réactions de la part des services de police et de la sécurité militaire du Polisario ainsi que de la gendarmerie nationale algérienne dont des éléments ont été aperçus en train de ramasser les tracts et d'y mettre le feu.
Solidaires de leurs frères séquestrés dans les camps de la honte, de nombreux acteurs associatifs des provinces sahariennes ont publié des communiqués dénonçant l'intervention brutale des services de sécurité algériens et leur complicité dans la répression et les violations des droits humains dont leurs cousins et parents ont été victimes.
Les acteurs associatifs des provinces du Sud appellent tous les hommes épris de justice et de liberté à faire front pour dénoncer les violences, la précarité et les mauvais traitements infligés aux enfants, aux femmes et aux vieillards dans les camps de Tindouf.







