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«Pis, si le département de tutelle ne réagit pas à temps, les professeurs pourraient boycotter les cours après les vacances du printemps et geler les structures des établissements de l’Enseignement supérieur », poursuit le secrétaire général du SNESUP. Ce qui pourrait augurer au cas où le bras de fer actuel persisterait, de perturbation à même de porter atteinte aux étudiants qui, dans le cas d’espèce, seraient pris en otages et donc victimes des deux parties. On redoute qu’une année blanche se profile à l’horizon.
Le SNESUP n’a cessé de condamner le mutisme et l’atermoiement incompréhensibles et injustifiés du département de tutelle et du gouvernement quant à son cahier revendicatif qui porte sur nombre de doléances, jugées par le SNESUP, de primordiales et légales.
Dans son dernier communiqué, tout en déplorant la fermeture improvisée du service cardiovasculaire du Centre hospitalier universitaire de Rabat, le SNESUP appelle à l’ouverture d’une enquête sur la question, et la réouverture de ce service dans les plus brefs délais.
Concernant la note de promotion des enseignants-chercheurs datée du 2 novembre 2010, le bureau national du SNESUP la rejette totalement et dans la forme et dans le fond puisqu’elle est, indique le communiqué, en contradiction avec la teneur du décret 97. Pour ce faire, il exige la régularisation immédiate des promotions des années 2007-2008-2009-2010 à l’instar de celles allant de 2001 à 2006.
Pour tenir informés les groupes parlementaires de la réalité et de la situation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le SNESUP a décidé également de poursuivre ses réunions avec les élus de la Nations afin de les informer de leur cahier revendicatif.