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Marquée par les interventions enrichissantes d’un parterre d’universitaires, de chercheurs et de politologues, cette rencontre a été l’occasion de mettre en avant les développements positifs réalisés par le Royaume autour du dossier du Sahara marocain, illustrés notamment par le soutien international grandissant au Plan marocain d’autonomie.
Intervenant à cette occasion, le doyen de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’El Kelâa des Sraghna, Mohamed El Ghali, a rappelé les nombreux acquis réalisés par le Royaume en rapport avec la question du Sahara marocain, et les victoires diplomatiques réalisées sur la voie de la consécration de l’intégrité territoriale du Royaume, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Il a, dans ce sens, noté que la résolution onusienne 2703 adoptée le 30 octobre dernier par le Conseil de sécurité des Nations unies vient réaffirmer encore une fois que le Plan marocain d'autonomie demeure la seule base crédible, réaliste et sérieuse pour résoudre le différend artificiel autour du Sahara marocain.
Pour sa part, El Ghali El Ghilani, professeur à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Marrakech a considéré que la résolution 2703 du Conseil de sécurité a été adoptée dans un contexte marqué par le lancement par le Maroc d’importantes réformes socioéconomiques et l’inauguration de projets de développement de grande envergure dans les provinces du Sud du Royaume.
Il s’agit d’une résolution onusienne qui a clairement identifié les parties concernées par ce dossier, précisé les bases du règlement de ce différend régional, et mis à nu l’instrumentalisation politique par l’entité fantoche et son mentor, l’Algérie de la carte des droits de l’Homme.
Même son de cloche chez le politologue et universitaire Abdelfattah Naoum qui a fait remarquer que les résolutions onusiennes consacrent toujours la prééminence du Plan marocain d’autonomie, comme solution sérieuse et crédible au différend sur la question du Sahara marocain, et ce depuis sa présentation en 2007.
Et d'ajouter que le front séparatiste constitue une véritable menace à la paix et à la stabilité régionales, notant dans ce sens que le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a dénoncé dans son dernier rapport annuel au Conseil de sécurité sur le Sahara, les violations et obstructions à répétition du "polisario" à la liberté de circulation et aux activités opérationnelles et logistiques de la MINURSO.
Quant au chercheur et universitaire Driss Lagrini, il a considéré que la résolution 2703 vient couronner les actions diplomatiques du Maroc aux niveaux arabe, africain et international et réaffirmer la pertinence du Plan marocain d'autonomie.
La communauté internationale, a-t-il dit, est plus que jamais convaincue quant à l'impératif majeur de lutter contre le terrorisme, avec tout ce qui en découle en termes d’assèchement de ses sources, et ce en commençant par l’éradication des entités devenues un terreau fertile pour les terroristes et les criminels.
Ce professeur des relations internationales à l'université Cadi Ayyad a, dans ce contexte, mis en relief l’approche de développement mise en œuvre par le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans ses provinces du Sud et qui continue d’enregistrer un franc succès, tous domaines confondus.
D’autres intervenants ont été unanimes à faire observer que les positions de l’Algérie ont porté atteinte aux efforts visant la réalisation de l’intégration maghrébine, à travers ses actes hostiles au Maroc, et entravé l’édification d’une Union maghrébine et la cohabitation entre les peuples de la région.