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L’Agence nationale des eaux et forêts tenue de faire avec
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La Déclaration du Bahreïn appelle au déploiement de forces internationales de maintien de la paix, relevant des Nations unies, dans les territoires palestiniens occupés
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Nous réaffirmons que la bande de Gaza fait partie intégrante des territoires palestiniens et de l'Etat palestinien unifié
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Au CPS de l'UA, le Maroc réitère l’impératif de l’approche Nexus paix, sécurité et développement pour la prévention des conflits en Afrique
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Des élèves palestiniens en visite au siège du CSEFRS
Au cours de cette session, la deuxième de ces Assises, les participants ont également eu droit à d'autres exposés sur l'impact du changement de la réglementation bancaire sur les entreprises agricoles et la gestion du risque dans le financement rural. Intervenant sur ce dernier point, l'Egyptien Ajai Nair (coordonateur de programme à la Banque mondiale) a éclairé l'assistance sur le rôle des institutions publiques et privées dans la gestion du risque, prenant en exemple le cas de l'Egypte.
Si les risques en agriculture constituent un véritable frein dans la mobilisation des fonds et par conséquent pèsent sur la création et l'accroissement des richesses en milieu rural, la couverture de ceux-ci s'imposent dès lors. C'est sur la couverture des risques agricoles que Patrick Degiovanni a bouclé cette session, donnant une idée sur le mécanisme de couverture des risques dans un secteur finalement très fragile et exposé à bien d'aléas.
Rappelons que plus de 300 congressistes participent à ces Assises, organisées conjointement par le Groupe Crédit agricole du Maroc et l'Association de crédit agricole pour le Proche-Orient et l'Afrique du Nord (NENARACA), et dont la clôture devait intervenir vendredi soir au Palais des congrès de Marrakech.