-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
La réunion s’est tenue comme prévu hier au siège de la municipalité de Youssoufia en présence des autorités locales. Selon les informations dont nous disposons, la réunion a débuté par la désignation du président de la séance et du secrétaire, soit le plus et le moins âgés d’entre les membres élus. La séance devait suivre son cours normalement, n’était le point d’ordre demandé par les partisans de Bahraoui, qui ont accusé Brahim Joumani d’avoir kidnappé et séquestré sept élus. Ces derniers ont poussé l’escalade à l’extrême et demandé la levée de la séance et l’intervention du procureur en vue d’enquêter sur le bien-fondé de cette allégation.
A l’heure où nous mettions sous presse, la séance était toujours levée. Selon un observateur, et conformément à la loi, un deuxième président devait être nommé en vue de poursuivre la séance. Mais les autorités locales auraient vraisemblablement refusé d’appliquer la loi.
Ce poste de président est brigué par Abdeslam Ballaji du Parti de la justice et du développement qui s’est officiellement présenté hier à ce poste. Quant au Mouvement populaire, aucun nom n’a été déposé. Mais conformément à la loi, seules les têtes de liste ont le droit de briguer le poste de président , sauf si ce dernier aspire à un autre poste électoral, notamment au niveau de la région ou du conseil préfectoral.
Cette bataille électorale, très disputée en l’occurrence, devrait toucher les autres communes de la ville durant cette semaine. Aujourd’hui, c’est Rabat-Hassan, mercredi, Yacoub El Mansour et jeudi, Agdal Ryad et Souissi.