Une saison pleine avec Bordeaux et complètement ratée avec l’équipe nationale. Marouane Chamakh s’est illustré de la plus belle manière avec son club des Girondins, avec à la clé un championnat et une coupe de France. En plus du titre du meilleur joueur africain de Ligue 1.
Ce qui se dit pour Chamakh s’applique aussi pour d’autres internationaux marocains, comme Mbarek Boussoufa (également meilleur joueur africain du championnat belge), Mounir El Hamdaoui ou encore Badr El Kadouri sacrés champions respectivement avec Anderlecht en Belgique, AZ.Alkmaar aux Pays-Bas et Dynamo Kiev en Ukraine.
Bref des footballeurs qui se sont distingués sous d’autres cieux, alors qu’ils ont été contraints aux toutes petites prestations avec un onze national qui a vécu l’année de tous les ratages.
Ce qui se dit pour Chamakh s’applique aussi pour d’autres internationaux marocains, comme Mbarek Boussoufa (également meilleur joueur africain du championnat belge), Mounir El Hamdaoui ou encore Badr El Kadouri sacrés champions respectivement avec Anderlecht en Belgique, AZ.Alkmaar aux Pays-Bas et Dynamo Kiev en Ukraine.
Bref des footballeurs qui se sont distingués sous d’autres cieux, alors qu’ils ont été contraints aux toutes petites prestations avec un onze national qui a vécu l’année de tous les ratages.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
