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La sélection marocaine composée de six athlètes dont deux filles a pris part dernièrement à Doha au Championnat arabe séniors dans les trois styles de lutte.
La lutte gréco-romaine avec Moulla Saïd dans la catégorie des 84 kg, Fajjari Fouad dans la catégorie des 55 kg et Boualam Aziz dans la catégorie des 74 kg. Dans la lutte libre, le seul représentant national est le jeune Sardi Yacine dans la catégorie des 66 kg.
Cette manifestation s’est déroulée entre le 4 et le 8 août courant dans la salle Omnisport de Doha. Pour cette grande fête arabe, la Fédération royale marocaine de la discipline s’est contentée d’organiser un stage au centre de Bourgogne en faveur de l’équipe nationale, alors que l’Algérie et la Tunisie se sont déplacées respectivement en Pologne et en Bulgarie. Malgré ce handicap qui fut d’ailleurs ressenti par les lutteurs et leurs encadreurs, l’équipe nationale s’est montrée décidée à faire bonne figure et à honorer le Maroc lors ce championnat arabe des nations.
En lutte gréco-romaine, les lutteurs marocains ont annoncé la couleur par le biais de Fajjari Fouad en 55 kg qui a décroché la médaille d’argent. Ensuite c’était au tour de Moulla Saïd de remporter la médaille de bronze dans la catégorie des 84 kg.
De son côté, l’espoir marocain Boualam Aziz a raté le podium par manque d’expérience.
Dans la lutte libre, Sardi Yacine s’est adjugé une médaille d’argent alors qu’il était tout près de l’or dans une finale très disputée.
En revanche, dans la lutte féminine, les sœurs-jumelles Haja Siham et Haja Hasna ont décroché respectivement l’or et l’argent dans les catégories des 60 kg et 55 kg.
Pour rappel, treize pays arabes ont participé à ce championnat. Une fois encore, l’Egypte a brillé par son absence.
Contacté par téléphone, le DTN, Mustapha Belenfered a déclaré que “pour construire une EN à la hauteur, il faut du temps et de la patience. Maintenant il faut beaucoup de stages à l’étranger pour permettre à nos lutteurs de pouvoir jouer pour des médailles lors des manifestations de cette envergure”.
Quant à Larbi Ibnou Zouheïr, président de la FRML, il a fait savoir que “les lutteurs marocains ont fait une bonne sensation. Pour maintenir la cadence, il faut des stages à l’étranger et nous allons nous y pencher en urgence”.
La lutte gréco-romaine avec Moulla Saïd dans la catégorie des 84 kg, Fajjari Fouad dans la catégorie des 55 kg et Boualam Aziz dans la catégorie des 74 kg. Dans la lutte libre, le seul représentant national est le jeune Sardi Yacine dans la catégorie des 66 kg.
Cette manifestation s’est déroulée entre le 4 et le 8 août courant dans la salle Omnisport de Doha. Pour cette grande fête arabe, la Fédération royale marocaine de la discipline s’est contentée d’organiser un stage au centre de Bourgogne en faveur de l’équipe nationale, alors que l’Algérie et la Tunisie se sont déplacées respectivement en Pologne et en Bulgarie. Malgré ce handicap qui fut d’ailleurs ressenti par les lutteurs et leurs encadreurs, l’équipe nationale s’est montrée décidée à faire bonne figure et à honorer le Maroc lors ce championnat arabe des nations.
En lutte gréco-romaine, les lutteurs marocains ont annoncé la couleur par le biais de Fajjari Fouad en 55 kg qui a décroché la médaille d’argent. Ensuite c’était au tour de Moulla Saïd de remporter la médaille de bronze dans la catégorie des 84 kg.
De son côté, l’espoir marocain Boualam Aziz a raté le podium par manque d’expérience.
Dans la lutte libre, Sardi Yacine s’est adjugé une médaille d’argent alors qu’il était tout près de l’or dans une finale très disputée.
En revanche, dans la lutte féminine, les sœurs-jumelles Haja Siham et Haja Hasna ont décroché respectivement l’or et l’argent dans les catégories des 60 kg et 55 kg.
Pour rappel, treize pays arabes ont participé à ce championnat. Une fois encore, l’Egypte a brillé par son absence.
Contacté par téléphone, le DTN, Mustapha Belenfered a déclaré que “pour construire une EN à la hauteur, il faut du temps et de la patience. Maintenant il faut beaucoup de stages à l’étranger pour permettre à nos lutteurs de pouvoir jouer pour des médailles lors des manifestations de cette envergure”.
Quant à Larbi Ibnou Zouheïr, président de la FRML, il a fait savoir que “les lutteurs marocains ont fait une bonne sensation. Pour maintenir la cadence, il faut des stages à l’étranger et nous allons nous y pencher en urgence”.
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