Qu’est-ce qu’on n’a pas entendu, qu’on entend et qu’on entendra comme complainte ayant trait aux consultations du 7 à venir !
Toutefois, certaines seraient, à la limite, justifiées. D’autres, par contre, le sont moins, voire pas du tout. Parfois même ça frise le ridicule.
Sinon, comment concevoir que quelques parties ayant pignon sur rue se permettent de justifier le retrait de la candidature de quelques-uns de leurs «militants» par le fait qu’ils auraient reçu quelques menaces ? Drôles de menaces au fait. Ces trop militants et désormais ex-candidats se seraient vu signifier par la direction des impôts qu’ils seraient soumis à une révision fiscale. Et alors ?
Primo, quand on craint le fisc à ce point, c’est que l’on ne doit pas être clean et que l’on a sûrement quelque chose à se reprocher.
Secundo, on croyait savoir dans notre naïveté trop naïve que tout parti qui se respecte présente comme candidats ou des militants purs et durs ou tout au moins des sympathisants partageant ses valeurs et son idéologie.
Faut pas pousser non plus. Surtout quand on se représente le cas de ce «Zaïm» d’un parti politique, si petit soit-il, qui, tout en choisissant de rester « Zaïm » de ladite entité, a jugé bon de se présenter sous les couleurs d’une toute autre entité. Sans la moindre coordination entre celles-ci.
Les transactions n’ont finalement concerné que les deux chefs respectifs. Qu’est-ce qui pourrait bien lier un toubib, professeur qui plus est, à un cheikh faisant dans le spiritualisme ?
Décidément, il ne faut s’étonner de rien.