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Une situation qui risque de se compliquer davantage dans les années à venir, notamment avec une croissance démographique et urbanistique rapide que connaît la capitale économique. D’après certaines prévisions, la ville connaîtra dans un avenir proche une expansion estimée à 20.000 ha, soit un élargissement de 300 hectares par an. Ce qui induit le prolongement des réseaux existants et la mise en place de nouvelles capacités de ravitaillement en ressources d’eau. Car, si les Casablancais ont consommé 394.000 m3 par jour en 2012, ils auront besoin de 600.000 m3 en 2030. Ceci d’autant plus que la ville ne dispose pas de ressources hydrauliques propres puisque 99% d’entre elles proviennent de l’oued Oum Rabbia (53 millions de m3) et Bouregreg (14 millions de m3).











