-
On se souvient enfin de l’existence des veuves des tirailleurs marocains morts pour la France. D’une drôle de manière !
-
Report de l'examen du projet de loi 54.23 relatif à l’Assurance maladie obligatoire
-
L’appel au secours d’un jeune séquestré des camps de Tindouf
-
La Commission ad hoc sur les migrations de l'AP-OSCE salue les réformes mises en place par le Royaume
-
Incidents de Fnideq: 152 personnes déférées devant la justice pour incitation à l'immigration illégale
Tout a commencé par un simple message sur les réseaux sociaux à la mi-avril appelant à boycotter trois marques commerciales. Les internautes dénoncent le prix de vente de l’eau minérale Sidi Ali du groupe Holmarcom de la famille Bensalah. Le lait de Centrale Danone est, quant à lui, considéré « trop cher » par rapport à son coût de production et à sa « qualité ».
Le boycott d’Afriquia, quant à lui, vient en réaction à la flambée des prix de l’essence et du gasoil.
Cinq semaines après son lancement, l’appel au boycott a connu un grand succès populaire sans précédent et réussi à ébranler ces trois entreprises.
La plus touchée, ou du moins celle qui a osé l’avouer, a été Centrale Danone.