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Tout a commencé par un simple message sur les réseaux sociaux à la mi-avril appelant à boycotter trois marques commerciales. Les internautes dénoncent le prix de vente de l’eau minérale Sidi Ali du groupe Holmarcom de la famille Bensalah. Le lait de Centrale Danone est, quant à lui, considéré « trop cher » par rapport à son coût de production et à sa « qualité ».
Le boycott d’Afriquia, quant à lui, vient en réaction à la flambée des prix de l’essence et du gasoil.
Cinq semaines après son lancement, l’appel au boycott a connu un grand succès populaire sans précédent et réussi à ébranler ces trois entreprises.
La plus touchée, ou du moins celle qui a osé l’avouer, a été Centrale Danone.