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Les adouls du Maroc montent au créneau et exigent du chef du gouvernement le retrait immédiat du projet de loi 16.22
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L'OMDH appelle à transformer la CAN 2025 en un modèle de coexistence et de solidarité africaine
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Driss Lachguar : Les récentes catastrophes à Safi et à Fès ont révélé l’incapacité gouvernementale à passer d'une logique de gestion circonstancielle à une logique de prévention et d'anticipation
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Chutes de neiges et fortes pluies et rafales de vent jusqu’à mercredi
Re-reposons la même question avec la foi du charbonnier. Après un peu plus d’une année au pouvoir, la ministre de la Famille, celle-là même qui en appelait à l’organisation d’un référendum sur l’avortement dans les cas les plus extrêmes comme le viol ou l’inceste, est-elle «toujours la même sans être vraiment une autre ?». Son voile est certes plus recherché, presque élégant, mais bon c’est toujours un voile et il enveloppe toutes les pensées fondées sur l’égalité, la parité, l’émancipation, l’ouverture, la modernité, l’universalité. On consulte une dernière fois le site du ministère de la Famille, du Développement social et de la Solidarité. Sur la version française de la page d’accueil, il y a bien une photo de Mme Hakkaoui derrière son bureau ministériel. Pour le reste, sur le site officiel de ce département, on parle de l’ex-ministre de gauche, Nouzha Skalli, ses attributions, sa stratégie 2009-2012. On se dit alors que c’est un acte manqué. Allez, une petite dernière pour la route. Qui a dit «si les femmes refusaient la polygamie, elle n’existerait pas» ? Hé oui, c’est bien Bassima, notre ministre des Femmes et il n’y a là rien à gagner, sinon des mouchoirs pour essuyer nos larmes de Marocaines humiliées…











