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"L’expulsion d’un de nos joueurs nous a compliqué la tâche. Nos joueurs sont en manque de compétition, car le championnat local n’a pas encore commencé. On a toujours des problèmes au mois de septembre. On s’attendait à ce scénario», a analysé Zaki, en conférence de presse à l’issue du match Maroc-Niger.
Selon Zaki, les joueurs du Niger ne sont pas habitués à jouer face à un stade archicomble et devant pas moins de 60.000 spectateurs, relevant que l’effectif de l’équipe du Maroc est très fort. «Il n’y a pas photo entre les deux formations», a-t-il poursuivi.
Il a noté, dans ce sens, que le stade Prince Moulay Abdellah est «une fierté pour le Maroc», confiant qu’il «n’est pas facile de jouer contre l’équipe de son pays d’origine».
«L’objectif du Niger était la qualification à la CAN-2025, mais nous n’avons pas pu l’atteindre. On ne rêvait pas de se qualifier pour le Mondial, mais nous voulons bâtir une équipe combative en prévision de la CAN-2027», a-t-il soutenu.
Par ailleurs, Badou Zaki a indiqué que les exploits réalisés par le football marocain ces dernières années, sont le fruit d’une stratégie bien ficelée et de la Vision sage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
«La révolution footballistique au Maroc porte aujourd’hui ses fruits, à la faveur de la mise en place d’infrastructures sportives modernes, de l’Académie Mohammed VI, du Complexe Mohammed VI de football (…), ce qui fait du Maroc un modèle à suivre pour le continent africain», a-t-il dit.