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Silvio Berlusconi bénéficie d'un large courant de sympathie en Italie après son agression par un déséquilibré dimanche dernier, montre un sondage.
La cote de popularité du président du Conseil italien, descendue sous la barre des 50% à la mi-novembre (48,6%), grimpe pour atteindre 55,9%, selon cette enquête de l'institut ISPO publiée dimanche par le Corriere della Sera.
Le sondeur Renato Mannheimer note que cette hausse de popularité est la plus marquée parmi l'électorat jeune et les catholiques pratiquants. Mais elle est aussi décelable parmi les électeurs du centre-gauche, avec 17% d'opinions positives.
L'attaque contre Berlusconi, qui a eu le nez brisé, deux dents cassées et des entailles aux lèvres, a choqué de nombreux Italiens et rappelé les années de "plomb" des années 1970 et 1980, quand le pays était en proie aux violences politiques.
L'agresseur, Massimo Tartaglia, était suivi depuis dix ans pour des problèmes psychiatriques et n'avait pas de lien avec un quelconque mouvement politique. Mais l'entourage de Berlusconi a dénoncé un climat de haine à l'encontre du président du Conseil, lui-même coutumier d'attaques verbales contre ses opposants.
Si les responsables politiques de tous bords ont exprimé leur solidarité avec Berlusconi et appelé au dialogue, l'Italie reste polarisée vis-à-vis de l'empereur des médias.
Renato Mannheimer a précisé que sur la base d'enquêtes effectuées au cours des derniers jours, entre 20 et 25% félicitent Massimo Tartaglia, estimant que Berlusconi "est dangereux pour le pays".
Une semaine jour pour jour après l'attaque, Silvio Berlusconi a participé, cette fois-ci par téléphone, à un rassemblement de ses partisans à qui il a déclaré: "Il est clair pour chacun que si un chef de gouvernement est accusé de corrompre des adolescentes et d'assassiner la liberté de la presse et d'être, selon un témoin déposant devant un tribunal, un membre de la mafia, un assassin à grande échelle et un tyran, alors un esprit faible peut se persuader qu'abattre le tyran en fera un héros national".
Le Cavalier, qui est sorti d'hôpital jeudi et se repose chez lui, a ajouté, selon l'agence de presse Ansa: "Deux Italiens sur trois croient comme nous que l'amour et la solidarité l'emporteront toujours sur l'envie et la haine".
La cote de popularité du président du Conseil italien, descendue sous la barre des 50% à la mi-novembre (48,6%), grimpe pour atteindre 55,9%, selon cette enquête de l'institut ISPO publiée dimanche par le Corriere della Sera.
Le sondeur Renato Mannheimer note que cette hausse de popularité est la plus marquée parmi l'électorat jeune et les catholiques pratiquants. Mais elle est aussi décelable parmi les électeurs du centre-gauche, avec 17% d'opinions positives.
L'attaque contre Berlusconi, qui a eu le nez brisé, deux dents cassées et des entailles aux lèvres, a choqué de nombreux Italiens et rappelé les années de "plomb" des années 1970 et 1980, quand le pays était en proie aux violences politiques.
L'agresseur, Massimo Tartaglia, était suivi depuis dix ans pour des problèmes psychiatriques et n'avait pas de lien avec un quelconque mouvement politique. Mais l'entourage de Berlusconi a dénoncé un climat de haine à l'encontre du président du Conseil, lui-même coutumier d'attaques verbales contre ses opposants.
Si les responsables politiques de tous bords ont exprimé leur solidarité avec Berlusconi et appelé au dialogue, l'Italie reste polarisée vis-à-vis de l'empereur des médias.
Renato Mannheimer a précisé que sur la base d'enquêtes effectuées au cours des derniers jours, entre 20 et 25% félicitent Massimo Tartaglia, estimant que Berlusconi "est dangereux pour le pays".
Une semaine jour pour jour après l'attaque, Silvio Berlusconi a participé, cette fois-ci par téléphone, à un rassemblement de ses partisans à qui il a déclaré: "Il est clair pour chacun que si un chef de gouvernement est accusé de corrompre des adolescentes et d'assassiner la liberté de la presse et d'être, selon un témoin déposant devant un tribunal, un membre de la mafia, un assassin à grande échelle et un tyran, alors un esprit faible peut se persuader qu'abattre le tyran en fera un héros national".
Le Cavalier, qui est sorti d'hôpital jeudi et se repose chez lui, a ajouté, selon l'agence de presse Ansa: "Deux Italiens sur trois croient comme nous que l'amour et la solidarité l'emporteront toujours sur l'envie et la haine".