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Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
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Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
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Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
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Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP

L’exigence d’un nombre minmum d’élus s’est imposée dans un souci de limiter la fragmentation politique jugée nuisible pour le travail parlementaire et pour éviter ou aggraver l’émiettement de notre champ politique marocain que les dispositions de la nouvelle Constitution et la loi sur les partis tentent de combattre. Une volonté exprimée par tous les Marocains en votant massivement et favorablement pour la nouvelle Constitution. Avant même la formation du nouvel Exécutif, la majorité ne semble pas être au diapason de l’esprit des réformes constitutionnelles qui doivent couper court aux pratiques malveillantes du passé. De toute façon, l’esprit du changement contenu dans la nouvelle Constitution et la mise en œuvre de celle-ci ne semblent pas inquiéter outre mesure la majorité. Et la suite viendra lors de la formation des commissions parlementaires.