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D’ailleurs tout cela est confirmé dans les rapports effectués par nombre d’organisations internationales ayant mis à nu la réalité des Marocains séquestrés dans les camps de la honte en terre algérienne, et ce à l’appui de preuves tangibles, de photographies et d’enregistrements actés des infractions inhumaines contraires d’une manière flagrante aux dispositions de la loi et des conventions internationales, défiant ainsi toutes les résolutions du Conseil de sécurité, laquelle institution estime l’enrôlement militaire des enfants et leur implication forcée dans des opérations militaires comme un crime de guerre. De même que le droit international interdit toute action amenant des enfants à prendre part aux conflits armés, en vertu de l’alinéa 2 de l’article 77 du protocole annexe, mais aussi de l’article 38 de la convention des droits de l’enfant et du protocole facultatif de l’an 2000 qui interdit la participation des moins de 18 ans dans les guerres.
D’autre part, l’assistance a rendu hommage aux gros efforts déployés par la diplomatie marocaine et aux grandes avancées réalisées dans le dossier de notre intégrité territoriale sous les Hautes directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, notamment l’ensemble des annonces récentes de la part de la quasi totalité des grandes puissances de la reconnaissance de la légitimité de la souveraineté territoriale marocaine dont la dernière en date fut celle de l’Espagne ayant considéré l’initiative marocaine d’autonomie comme la plus sérieuse, crédible et réaliste à même de résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain.
Par ailleurs, ces assises ont conclu à ce quisuit :
- Désigner les organisations, associations et acteurs dansle domaine de la protection de l’enfance, dont l’action est fondée sur les dispositions du droit international et les conventions humanitaires en vue d’assurerleurs plaidoiries en faveur de l’affaire centrale de notre intégrité territoriale
- Inciter la communauté internationale à exiger que l’Etat abritantlesséparatistes, en l’occurrence l’Algérie, mette fin à l’envoi des séquestrés, notamment les enfants dans les campements militaires d’entraînement en les plaçant dansle cadre juridique spécial relatif à leur situation et en les inscrivant dans les écoles financées par l’UNICEF et les organisations humanitaires.
- Appelerla communauté internationale à la reddition des comptes concernant les exactions inhumaines commises dansles camps de Tindouf.
- Intervenir d’urgence en vue de diligenter une enquête profonde et précise sur les habitants desdits camps et de pouvoir être au fait de la réelle situation des séquestrés de manière à démentir les allégations de l’Algérie et de ses pantinsséparatistes.
- Alerter la communauté internationale quant à lamenace du développement d’un foyer de terrorisme et de terroristes dans cette région pour l’ensemble de la population mondiale.
Enfin, avant l’achèvement destravaux de cette rencontre, les organisateurs etl’assistance ontrendu hommage à MohamedNhili, coordinateur national duCollectif civil pourla plaidoirie au profit des enfants des camps de Tindouf.