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Les participants à la 6e Conférence internationale de recherche en tourisme (MICTR 2025), dont les travaux ont pris fin jeudi à Marrakech, ont appelé à faire de l'innovation un levier pour la durabilité et la compétitivité des destinations touristiques, dans un contexte marqué par des transformations accélérées de ce secteur.
Organisée conjointement par le Laboratoire d'ingénierie informatique et systèmes de la Faculté des Sciences et techniques (FST) et le Centre d'Excellence en tourisme de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Marrakech, sous le thème "Harmoniser l'innovation low-tech et high-tech : une approche multidisciplinaire pour la durabilité des territoires et destinations touristiques", cette rencontre a offert l’occasion d'explorer les moyens de mettre l'innovation scientifique et technologique au service du tourisme durable.
Dans ce cadre, les différents intervenants ont convenu que l'avenir du tourisme ne se construit pas uniquement sur les solutions numériques, mais aussi sur la complémentarité entre l'innovation high-tech et les approches low-tech inspirées des compétences locales et des expertises communautaires, rapporte la MAP.
Les participants à ce congrès, qui a rassemblé des représentants d'universités et d'institutions internationales issues de 18 pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord, ont également appelé à investir dans la recherche scientifique appliquée et à encourager la coopération entre les universités, les acteurs territoriaux et les professionnels, afin de développer des destinations touristiques à la fois intelligentes et responsables.
À cette occasion, le président de la 6e MICTR, Larbi Safaa, a expliqué que cette édition "reflète la transformation qualitative dans l'approche de la recherche scientifique dans le domaine du tourisme, où la technologie n'est plus une fin en soi, mais un moyen de parvenir à un développement plus durable et humain".
M. Safaa a ajouté que le congrès aspire à faire de Marrakech "un laboratoire ouvert pour la recherche de moyens innovants en faveur de nouvelles solutions pour un tourisme durable, capables de concilier les exigences du marché et les enjeux environnementaux et sociaux", soulignant que l'Université Cadi Ayyad (UCA) "œuvre, à travers cet événement, à consacrer sa position en tant que pôle scientifique africain avancé dans le domaine de la recherche appliquée en tourisme".
Les sessions du congrès ont été marquées par la présentation de plusieurs expériences pionnières dans le domaine du tourisme durable par les représentants des pays participants, dont des projets réussis en matière de gestion des ressources naturelles, d'implication des communautés locales dans le développement de l'offre touristique, et des expériences numériques innovantes pour améliorer l'expérience du touriste et renforcer l'attractivité des destinations.
Le programme du congrès comprenait des sessions plénières, des ateliers et des présentations de recherches axées sur des thématiques relatives à "l'Intelligence artificielle et la gestion des destinations touristiques intelligentes", les "Stratégies d'innovation low-tech pour renforcer la résilience des territoires", la "Transformation numérique dans le tourisme durable", la "Neuroscience et le comportement du touriste à l'ère numérique", et la "Complémentarité des technologies modernes et des savoirs locaux dans la gestion d'un tourisme responsable".
Organisée conjointement par le Laboratoire d'ingénierie informatique et systèmes de la Faculté des Sciences et techniques (FST) et le Centre d'Excellence en tourisme de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Marrakech, sous le thème "Harmoniser l'innovation low-tech et high-tech : une approche multidisciplinaire pour la durabilité des territoires et destinations touristiques", cette rencontre a offert l’occasion d'explorer les moyens de mettre l'innovation scientifique et technologique au service du tourisme durable.
Dans ce cadre, les différents intervenants ont convenu que l'avenir du tourisme ne se construit pas uniquement sur les solutions numériques, mais aussi sur la complémentarité entre l'innovation high-tech et les approches low-tech inspirées des compétences locales et des expertises communautaires, rapporte la MAP.
Les participants à ce congrès, qui a rassemblé des représentants d'universités et d'institutions internationales issues de 18 pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord, ont également appelé à investir dans la recherche scientifique appliquée et à encourager la coopération entre les universités, les acteurs territoriaux et les professionnels, afin de développer des destinations touristiques à la fois intelligentes et responsables.
À cette occasion, le président de la 6e MICTR, Larbi Safaa, a expliqué que cette édition "reflète la transformation qualitative dans l'approche de la recherche scientifique dans le domaine du tourisme, où la technologie n'est plus une fin en soi, mais un moyen de parvenir à un développement plus durable et humain".
M. Safaa a ajouté que le congrès aspire à faire de Marrakech "un laboratoire ouvert pour la recherche de moyens innovants en faveur de nouvelles solutions pour un tourisme durable, capables de concilier les exigences du marché et les enjeux environnementaux et sociaux", soulignant que l'Université Cadi Ayyad (UCA) "œuvre, à travers cet événement, à consacrer sa position en tant que pôle scientifique africain avancé dans le domaine de la recherche appliquée en tourisme".
Les sessions du congrès ont été marquées par la présentation de plusieurs expériences pionnières dans le domaine du tourisme durable par les représentants des pays participants, dont des projets réussis en matière de gestion des ressources naturelles, d'implication des communautés locales dans le développement de l'offre touristique, et des expériences numériques innovantes pour améliorer l'expérience du touriste et renforcer l'attractivité des destinations.
Le programme du congrès comprenait des sessions plénières, des ateliers et des présentations de recherches axées sur des thématiques relatives à "l'Intelligence artificielle et la gestion des destinations touristiques intelligentes", les "Stratégies d'innovation low-tech pour renforcer la résilience des territoires", la "Transformation numérique dans le tourisme durable", la "Neuroscience et le comportement du touriste à l'ère numérique", et la "Complémentarité des technologies modernes et des savoirs locaux dans la gestion d'un tourisme responsable".








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