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Signature d’un mémorandum d’entente en vue du renforcement des capacités des diplomates marocains
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Début à Banjul de la réunion des ministres des AE avec la participation du Maroc
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L'ANRE plaide à Fès en faveur d’un réseau “robuste” d’interconnexion électrique transfrontalier en Afrique
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Le SNPM publie son rapport annuel2023-2024 sur la liberté de la presse au Maroc
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L’ANME fait part des axes stratégiques pour renforcer la liberté de la presse et promouvoir un environnement médiatique sain et diversifié
Dans une déclaration publiée par son bureau de Tunis, "Amnesty International" a appelé les autorités tunisiennes à "cesser toutes les mesures légales prises contre des activistes pour avoir utilisé leurs droits humains fondamentaux, particulièrement leur droit à exprimer leurs opinions librement et de manière pacifique".
L'organisation a souligné, également, l'impératif de ne plus traduire des personnes critiquant ouvertement le pouvoir devant les tribunaux militaires, insistant sur la nécessité de respecter les droits de l'Homme et les libertés fondamentales.
En outre, "Amnesty International" a fait part de son inquiétude quant à l'usage de l'arsenal juridique pour faire taire les critiques, notamment le décret-loi relatif à la lutte contre les infractions se rapportant aux systèmes d'information et de communication.
Ce décret, poursuit la même source, constitue "une menace pour la liberté d'expression et le droit à la vie privée", évoquant, également, sa crainte à l'égard de l'usage de la loi organique n°2015-26 relative à la lutte contre le terrorisme et la répression du blanchiment d'argent ainsi que d'autres articles du Code pénal.
La Tunisie connaît, dernièrement, une série d'arrestations d'hommes politiques, de figures de l’opposition, d’activistes de la société civile, de responsables de médias et de syndicalistes, suscitant une vague d’indignation de plusieurs ONG de défense des droits de l’Homme.
Depuis le coup de force du président Kaïs Saïed qui s'est arrogé les pleins pouvoirs en juillet 2021, plusieurs figures politiques font l'objet de poursuites judiciaires dénoncées par l'opposition comme des règlements de comptes politiques.