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Ali et Ahmed Yahyaoui sont un exemple parmi d’autres qui ont fait les frais de l’arbitraire, de la sauvagerie et de l’inhumanité du totalitarisme et de l’abus de pouvoir du régime algérien. Un vrai drame. Un itinéraire jalonné de souffrances de toutes sortes. Ahmed et Ali poursuivent leur lutte pour dénoncer leur expulsion. Pour ce faire cette fois, ils font le voyage d’Espagne où ils résident actuellement jusqu’en Belgique pour rencontrer Fatiha Saidi, sénatrice du PS belge et maire à Evere. Une dame qui s’intéresse à cette étape de l’Histoire maghrébine et qui lutte contre ces abus et dont les grands parents ont subi le même sort. Ahmed et Ali sont allés raconter leurs témoignages, révéler leurs souffrances, leurs blessures et leurs peines, bref leur drame devenu un cauchemar sans fin. Un vrai crime contre l’humanité qui s’est fait dans le silence, l’impunité totale et l’indifférence de la communauté internationale de l’époque. Il faut dire qu’à l’époque, on vivait sous les tensions de la guerre froide entre l’Est et l’Ouest. La maire belge de la commune d’Evere, Fatiha Saidi nous livre dans son récit, les témoignages poignants d’Ali et Ahmed Yahyaoui deux expulsés d’Algérie. Elle nous narre les péripéties d’une vie prise dans les tourments de l’injustice, de l’abus et des malheurs, sans oublier l’espoir pour ces deux frères de retrouver leur dignité.
Lire l'article de Fatiha Saidi.











