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Tout porte à croire que le navigateur paierait les frais du piratage de Google en Chine. Ce dernier confirme, en effet, que l'attaque subie récemment provenait d'une faille trouvée dans Internet Explorer. Le géant informatique a reconnu les faits, en précisant qu'aucune attaque similaire n'avait réussi sur les versions 7 et 8.
En attendant, la découverte de la récente vulnérabilité du navigateur incite déjà de nombreux pays à la prudence. Ainsi, la France et l'Allemagne n’ont-elles pas tardé à déconseiller l'utilisation d'Internet Explorer. A Paris, le CERTA (le Centre d'expertise gouvernemental de réponse et traitement des attaques informatiques) recommande désormais l'utilisation d'un navigateur alternatif en attendant la mise à disposition d’un correctif.
En Allemagne, l'Office pour la sécurité des techniques d'information avait estimé que le "point faible décelé permet aux attaquants d'introduire un code dans le système Windows et de le piloter, par le biais d'une page Internet manipulée".
Qu’en est-il au Maroc qui compte de nombreux usagers du navigateur? Silence.
Sachez enfin qu’Internet Explorer, Firefox et Chrome constituent le trio de tête des navigateurs web. D’après le site Market Share, les chiffres issus de plus de 40.000 sites web placent largement Internet Explorer en tête des navigateurs les plus sollicités sur le net. Bien que confortable, cette position ne cesse de décroître depuis de très nombreuses années, notamment au profit du navigateur open source Firefox, constate le site.