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Ce ne fût que dans le tard qu'est apparu le "polisario", à l'instigation de l'Algérie, a dit M. Zaidi.
Dans cet entretien donné en marge de sa participation à la conférence de l'association parlementaire euro-méditerranéenne, organisée à Amman, M. Zaidi a affirmé que, "de par le respect ses engagements pour la paix mondiale et sa volonté de donner corps au principe bien compris de l'autodétermination, le Maroc a proposé l'initiative d'autonomie au Sahara, qui a recueilli les faveurs de la communauté internationale et de plusieurs grandes puissances".
La persistance du problème du Sahara, a-t-il poursuivi, a encouragé les activités terroristes d'Al Qaïda au Sahel, faisant remarquer que les agissements des éléments de ce réseau et l'afflux des réfugiés subsahariens sur cette vaste région, représentent des facteurs de grande déstabilisation pour la région, ce qui n'est dans l'intérêt ni du Maroc, ni de l'Algérie.
D'autre part, le chef du groupe USFP à la Chambre des représentants a, dans la même optique, indiqué que l'Union du Maghreb Arabe (UMA) est "aujourd'hui un rêve, mais aussi une fatalité historique et économique", faisant état de la complémentarité existant entre les pays de la région qui disposent de potentialités et atouts naturels et économiques.
"Le train du Maghreb ne peut cependant se mettre en marche sans le règlement de la question du Sahara entre le Maroc et l'Algérie", a-t-il insisté, notant que le Royaume, de par sa position géographique, offre "un point d'appui et une passerelle" pour les échanges économiques entre le Nord et le Sud.