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Et pour cause, le gouvernement algérien estime qu’il est encore tôt de prévoir une telle possibilité. Une manière de tourner, encore une fois le dos aux revendications populaires formulées des deux côtés de ce point frontalier.
Et c’est le Premier ministre Ahmed Ouyahya qui le dit sans ambages. En guise de réponse dimanche à Alger, aux questions des journalistes lors d’un point de presse, il a été, on ne peut plus clair. Les journalistes qui lui avaient fait part d’informations relayant l’approche de l’ouverture des frontières entre les deux pays voisins, fermées depuis 1994 suite aux attentats d’Atlas Asni à Marrakech, ont constaté aussi que le Premier ministre algérien est allé chercher midi à quatorze heures, puisqu’il a versé dans une spéculation difficilement admissible. Il a ainsi accusé le fort « lobby marocain aux Etats-Unis d’avoir véhiculé de fausses informations faisant état de l’envoi par Alger de mercenaires à la rescousse des forces de Kadhafi ».
Ceci dit, Ouyahya n’a pas pu contester les accusations directes émanant du Conseil national transitoire libyen qui ne ménage aucunement Al Mouradia et ses services, preuves à l’appui, comme il ne cesse de le répéter. Le responsable de communication au sein du Conseil national transitoire Mahmoud Chammam, était même allé jusqu’à quantifier le soutien d’Alger à leur « allié », par l’envoi de 500 land-rover!
En effet, les révolutionnaires libyens avaient affirmé le mois d’avril avoir arrêté une quinzaine de mercenaires algériens lors de dures batailles à Ajdabia à l’Est du pays.