La Cour a accédé à une requête de la défense des cinq prévenus, des anciens responsables et syndicalistes de la société de transport maritime Comanav, indique-t-on de source judiciaire. L’affaire remonte au 19 juin dernier lorsque d’anciens responsables et cadres de la compagnie avaient été déférés devant la justice pour «constitution d’une bande criminelle en vue de saboter des établissements et structures publics (ports et bateaux) et participation, divulgation de secrets professionnels et entrave à la liberté de travail» chacun en qui le concerne.







