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Naoufal Bouamri consacré à la tête de l’OMDH
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Aujourd'hui, plus que jamais, nous devons réaffirmer notre engagement envers la liberté, l'égalité, la justice et la solidarité, comme piliers d'un avenir durable et pacifique
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Le Code de procédure pénale passé au crible
Abdelkader Belliraj est le principal accusé dans l’affaire du réseau Belliraj, dans lequel sont poursuivies 35 personnes, dont deux en liberté provisoire.
La Cour qui a auditionné Belliraj l’a également accusé “d’association de malfaiteurs en vue de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d’une entreprise collective ayant pour but l’atteinte grave à l’ordre public par l’intimidation, la terreur et la violence et tentative de meurtre prémédité par armes à feu, transport et détention illégale d’armes à feu et de munition pour les utiliser dans l’exécution de projets terroristes”.
Il a été aussi accusé de “contrefaçon et falsification de documents officiels, usurpation de fonction en vue d’exécuter des projets terroristes, don et collecte de fonds, de valeurs et biens pour les utiliser dans l’exécution de projets terroristes et vols et blanchiment d’argent’’.
Le mis en cause a rejeté les accusations retenues contre lui, notamment celles relatives à la préparation d’un “”projet jihadiste”” à l’intérieur du Maroc, à sa relation avec le fondateur du “mouvement révolutionnaire islamique marocain”, Khalid Cherkaoui, à l’introduction d’armes au Maroc et à l’assassinat de compatriotes. Au terme de cette audience qui a duré quatre heures, la cour a décidé de poursuivre mardi l’audition des autres accusés.