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Par ailleurs, le communiqué émanant de la cellule centrale mise en place à cet effet par le ministère de la Justice indique dans ce cadre que des peines de prison ferme, de privation de vote et d'inéligibilité durant deux sessions législatives successives ont été prononcées dans deux affaires de corruption électorale. Il faut préciser que ces différentes plaintes concernent le déroulement de la campagne électorale dans les administrations publiques, l'affichage de listes électorales, de candidats ou de listes de candidats non-inscrits, la campagne électorale dans des lieux ou établissements réservés à l'enseignement, la formation professionnelle ou les lieux de culte, outre l'affichage de tracts électoraux dans des lieux non autorisés par l'autorité administrative locale. Ces plaintes ont un rapport avec l'influence ou tentative d'influence des électeurs par le biais de cadeaux, de dons ou encore par des avantages administratifs. D'autres plaintes portent aussi sur l’utilisation de moyens et biens de l'Etat, des collectivités locales, des sociétés et entreprises par certains candidats, ou qui violent le droit électoral à travers des propos ayant un caractère injurieux, violent ou intimidant.











