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L’acte lâche perpétré, il y a de cela trente quatre ans, ne pouvait pas ne pas être qualifié d’«assassinat politique ». Et comme l’a rappelé son camarade et compagnon de lutte, Mohamed Elyazghi, à travers l’homme, c’était « son rayonnement, son large savoir et sa pensée » que l’on visait. On a bêtement cherché à ébranler l’USFP en le touchant à l’un de ses piliers les plus solides. Peine perdue, l’USFP d’Omar Benjelloun est toujours sur pied, défendant les mêmes idéaux et œuvrant avec force et détermination pour que ce Maroc rêvé par l’Ittihad et les Ittihadis prenne forme et pour aller bien au-delà de toutes avancées réussies grâce aux inestimables sacrifices consentis par Omar et ses compagnons de lutte.
Lâche, ignoble, exécrable et vain aura été cet acte du 18 décembre 1975. Il faisait d’ailleurs suite à toute une série d’exactions et autres viles tentatives.
Mais tout cela n’était pas pour impressionner ou dissuader Omar Benjelloun, le militant dans sa vie professionnelle et dans sa vie de tous les jours.
C’est par ailleurs en signe de reconnaissance, mais aussi pour prouver que la marche entamée par Omar et par tous les militants et martyrs ittihadis se poursuit, que la toute dernière session du Conseil national de l’USFP, celle ayant insufflé un nouvel élan de détermination et d’Espoir au Parti des Forces populaires a porté le nom de Omar Benjelloun.