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Plus de 52% des cas de fraude ont été recensés chez les candidats libres, a précisé le MEN dans un communiqué, ajoutant que l’usage des téléphones portables arrive en tête des moyens de fraude utilisés avec 2.046 cas enregistrés (66%), suivi de la détention de documents non autorisés avec 739 cas (24%), et des cas (89) de ressemblance totale ou partielle des copies d’examen (3%). Selon le MEN, la publication des cas de fraude vise à sensibiliser l’opinion publique nationale, les acteurs pédagogiques et les candidats sur ce phénomène et à les tenir informés des sanctions prévues à l’encontre des fraudeurs notamment l’interdiction de passer l’examen du baccalauréat pour une durée allant d’une année à cinq ans, outre des poursuites judiciaires.
La publication de ces cas vise également à doter les intervenants aux examens régionaux, provinciaux et nationaux, des données nécessaires pour assurer le suivi des sanctions prises, et ce dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie du ministère en matière de lutte contre la fraude aux examens, comme elle vise à prémunir la crédibilité et la réputation du baccalauréat marocain sur le plan national et international.
Les listes des cas de fraude relevés au titre de la session de juin 2012 de l’examen national unifié du baccalauréat sont disponibles sur le Portail du ministère, ajoute la même source.