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Ce qui a attisé la colère des habitants de la ville qui se sont insurgés contre ces pratiques. Autant de questions qui se posent sur les personnes impliquées dans cette affaire.
Suite à cela, le premier responsable d’Al Omrane à Laâyoune a été rappelé à l’Administration centrale à Rabat. En guise de défense, ce dernier a affirmé avoir reçu des ordres «verbaux» de la part du ministère de l’Habitat pour offrir 1200 parcelles au vice-président de la municipalité de Laâyoune. A son tour, celui-ci les a distribuées à ses proches afin de « gagner leurs voix » aux prochaines communales de 2009.
Dans ce sens, la Jeunesse Ittihadia dans les provinces du Sud a dénoncé unanimement ces pratiques, en demandant que toutes les personnes impliquées, directement ou indirectement, dans cette affaire, soient déférées devant la justice. Ce scandale a été révélé par le Groupe socialiste au Parlement à la première Chambre. Le flou persiste toujours. Et rien ne filtre pour le moment. Affaire à suivre…