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Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), a démantelé hier une cellule terroriste liée à Daech composée de cinq extrémistes, âgés entre 27 et 41 ans, s'activant dans les villes de Berkane et Nador.
Un communiqué du ministère de l'Intérieur précise que cette opération, qui s’inscrit dans le cadre des efforts visant à faire face aux menaces terroristes, a permis la saisie d'équipements électroniques et d'armes blanches. Il ressort des données préliminaires que les membres de cette cellule ont planifié de rejoindre des camps d'une branche de Daech dans la région sahélo-saharienne, avant de décider d'adhérer à l'exécution d'opérations terroristes ciblant des sites sensibles dans le Royaume.
Le chef de la cellule terroriste a réussi à acquérir des compétences dans le domaine des explosifs, dans la perspective de se procurer les matières qui servent à la fabrication de charges explosives qu'il comptait utiliser dans ses projets destructeurs, précise la même source.
Les mis en cause seront déférés devant la justice après l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.
Il convient de rappeler que trois Marocains ont été condamnés en juillet à la peine de mort pour l'assassinat de deux touristes scandinaves décapitées en décembre au nom de l'EI, dans les montagnes du Haut-Atlas (sud).
Ces hommes appartenaient à un groupe radicalisé qui se réunissait depuis plusieurs années à Marrakech et n'avait pas été détecté.
Des peines allant jusqu'à la perpétuité ont sanctionné les 21 autres membres de ce groupe. Le procès en appel s'est ouvert la semaine dernière.
Epargné jusqu'à l'an dernier par les violences liées aux groupes jihadistes, le Maroc avait été meurtri par des attaques à Casablanca (33 morts en 2003) et à Marrakech (17 morts en 2011).
Un communiqué du ministère de l'Intérieur précise que cette opération, qui s’inscrit dans le cadre des efforts visant à faire face aux menaces terroristes, a permis la saisie d'équipements électroniques et d'armes blanches. Il ressort des données préliminaires que les membres de cette cellule ont planifié de rejoindre des camps d'une branche de Daech dans la région sahélo-saharienne, avant de décider d'adhérer à l'exécution d'opérations terroristes ciblant des sites sensibles dans le Royaume.
Le chef de la cellule terroriste a réussi à acquérir des compétences dans le domaine des explosifs, dans la perspective de se procurer les matières qui servent à la fabrication de charges explosives qu'il comptait utiliser dans ses projets destructeurs, précise la même source.
Les mis en cause seront déférés devant la justice après l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.
Il convient de rappeler que trois Marocains ont été condamnés en juillet à la peine de mort pour l'assassinat de deux touristes scandinaves décapitées en décembre au nom de l'EI, dans les montagnes du Haut-Atlas (sud).
Ces hommes appartenaient à un groupe radicalisé qui se réunissait depuis plusieurs années à Marrakech et n'avait pas été détecté.
Des peines allant jusqu'à la perpétuité ont sanctionné les 21 autres membres de ce groupe. Le procès en appel s'est ouvert la semaine dernière.
Epargné jusqu'à l'an dernier par les violences liées aux groupes jihadistes, le Maroc avait été meurtri par des attaques à Casablanca (33 morts en 2003) et à Marrakech (17 morts en 2011).