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Les membres de cette coordination se sont donc réunis et ont rendu public un communiqué, dont Libé détient copie, destiné au Secrétaire général de l’ONU, au Conseil de sécurité et à l’opinion publique.
A travers ce communiqué, ils expriment leur satisfaction de voir le Secrétaire général de l’ONU prendre en considération le cas de Khalil et de l’avoir inclus dans le paragraphe 8 de son dernier rapport sur le Sahara dans lequel il a fait état du sit-in organisé par la Coordination le 10 février dernier devant le siège du HCR revendiquant la libération de Khalil. La Coordination s’est également félicitée du fait que ce point soit inclus à l’ordre du jour des travaux de la réunion prévue par le Conseil, au niveau des ambassadeurs des pays amis du Sahara (USA, France, Grande-Bretagne, Espagne et Russie).
La Coordination a, en outre, confirmé avoir adressé une demande à Federica Mogherini, chargée de la sécurité et des relations extérieures au sein de l’Union européenne, lui demandant de se saisir de l’affaire Khalil qui avait été nommé en 2008 au poste de conseiller chargé des droits de l’Homme par l’ex-chef du Polisario Mohamed Abdelaziz, après avoir occupé pendant plusieurs années le poste de chef de la sûreté dans les camps de Tindouf.
La Coordination a aussi dénoncé avec vigueur les mensonges de Brahim Ghali qui avait promis le retour de Khalil aux camps de Tindouf, promesse qu’il n’a pas tenue, ce qui prouve qu’il est impliqué dans l’enlèvement de ce dernier qui détenait des informations sur les violations des droits de l’Homme et autres crimes perpétrés, à l’époque où l’actuel chef du Polisario occupait le poste de prétendu ministre de la Défense.