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Cette initiative, financée par l’Union européenne dans le cadre du programme «Moucharaka Mouwatina», entend promouvoir l’art et la culture en motivant les jeunes des quartiers populaires, tout en développant chez eux l’esprit de responsabilité et de citoyenneté, indique un communiqué de l’association.
Ce projet, conçu pour renforcer et soutenir la présence effective des jeunes Oujdis dans la vie culturelle et artistique de la ville, cible les jeunes des quartiers populaires, lycéens et étudiants universitaires, âgés de 15 à 28 ans, en les impliquant dans la mise en scène artistique de la ville, notamment en décorant ces quartiers avec des fresques murales, entre autres activités. Depuis sa création, le «Collectif Tzouri» vise à rapprocher l’art de la population à travers l’art urbain ou le Street Art, en utilisant des méthodes artistiques novatrices qui confèrent une splendeur et un éclat à la ville. En Amazigh, Tzouri signifie «le beau» ou, dans d’autre contextes, «l’art», d’où ce choix de rassembler les passionnés d’art de la région, relève-t-on.
Le programme Moucharaka Mouwatina vise à améliorer l’environnement institutionnel et légal des organisations de la société civile marocaine et à promouvoir leur implication dans la définition, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des politiques publiques.
Ce programme appuie les initiatives de la société civile dans les domaines de la jeunesse, de l’égalité femmes-hommes et de l’environnement et se déploie au niveau régional, à travers quatre bureaux dans les régions pilotes de Casablanca-Settat, l’Oriental, Souss-Massa et Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Le programme dispose, par ailleurs, d’un bureau de coordination nationale à Rabat.
Financé par l’Union européenne à hauteur de 13 millions d’euros pour la période 2018-2020, Moucharaka Mouwatina est mené en partenariat avec le ministère d’Etat chargé des droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, le Conseil national des droits de l’Homme, l’Institut national de formation aux droits de l’Homme (Institut Driss Benzekri) et le Bureau des Nations unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS), en tant que partenaire de mise en œuvre, et avec la participation de la société civile au Maroc.