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Cette demande de report avait été formulée par un avocat des plaignants afin de «préparer les plaidoiries». A l'inverse, la demande de remise en liberté provisoire du Français a été rejetée, a indiqué à l'AFP Najat Anwar, présidente de «Touche pas à mon enfant», une organisation qui s'est constituée partie civile.
Jean-Luc G., un homme d'une soixantaine d'années installé de longue date dans le royaume, fait l'objet de plaintes d'au moins neuf enfants, qui affirment avoir subi des «actes sexuels» à son domicile en échange de modiques sommes d'argent.
Selon l'ONG et l’avocat des plaignants, Me Abdelilah Techfine, ce Français est entré en contact avec certains des mineurs «par le biais de leurs parents».
Il a été pris en flagrant délit, dans un véhicule, et «des images d'enfants en sous-vêtements ont par ailleurs été retrouvées sur son ordinateur», d'après Me Techfine.
Si cet homme encourt plusieurs années d'emprisonnement, «Touche pas à mon enfant» a critiqué la tenue de son procès «devant un tribunal de première instance et non devant une Chambre criminelle», «malgré la gravité des charges».
En juillet, un tribunal de Tétouan avait condamné en appel à six mois de prison un ressortissant allemand accusé d'avoir attiré par la ruse deux mineures dans sa voiture.