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Le changement climatique devrait coûter à l’Afrique quelque 50 milliards de dollars par an d’ici 2050, selon les estimations d’un nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).
Ce rapport consacré à l’adaptation de l’Afrique au changement climatique révèle que le continent est la région du monde dont les conditions climatiques changent le plus rapidement.
Il montre que le monde ne se dirige actuellement pas dans la bonne direction pour maintenir le réchauffement climatique en dessous des 2 C.
Le PNUE se base notamment sur le rapport mondial de l’adaptation au changement climatique de l’année 2014, lequel conclut que les coûts d’adaptation dans l’ensemble des pays en développement pourraient atteindre de 250 à 500 milliards de dollars par an à partir de 2050.
Les prévisions de réchauffement montrent que dans de vastes zones d’Afrique, l’augmentation des températures dépassera au moins les 2 C dès les deux dernières décennies du 21siècle, en comparaison à la température moyenne annuelle de la fin du siècle dernier. En cas d’un fort réchauffement, les températures pourraient dépasser les 2 C d’ici 2050, dans une grande partie de l’Afrique et atteindre entre 3 et 6 C d’ici la fin du siècle. “Un tel scénario aurait un impact grave sur la production agricole, la sécurité alimentaire, la santé humaine et la disponibilité de l’eau”, préviennent les auteurs du rapport, lit-on dans une dépêche de la MAP.
Le document affirme que d’importantes réductions des émissions mondiales sont la meilleure façon d’éviter des coûts d’adaptation inabordables. Il note, par ailleurs, que les ressources actuelles du continent ne sont pas suffisantes pour pallier les impacts prévus.
La publication du rapport du PNUE a coïncidé avec un débat de haut niveau du Conseil des droits de l’Homme sur “Les changements climatiques et les droits humains”, tenu à quelques mois du sommet crucial de Paris sur le climat.
Ce rapport consacré à l’adaptation de l’Afrique au changement climatique révèle que le continent est la région du monde dont les conditions climatiques changent le plus rapidement.
Il montre que le monde ne se dirige actuellement pas dans la bonne direction pour maintenir le réchauffement climatique en dessous des 2 C.
Le PNUE se base notamment sur le rapport mondial de l’adaptation au changement climatique de l’année 2014, lequel conclut que les coûts d’adaptation dans l’ensemble des pays en développement pourraient atteindre de 250 à 500 milliards de dollars par an à partir de 2050.
Les prévisions de réchauffement montrent que dans de vastes zones d’Afrique, l’augmentation des températures dépassera au moins les 2 C dès les deux dernières décennies du 21siècle, en comparaison à la température moyenne annuelle de la fin du siècle dernier. En cas d’un fort réchauffement, les températures pourraient dépasser les 2 C d’ici 2050, dans une grande partie de l’Afrique et atteindre entre 3 et 6 C d’ici la fin du siècle. “Un tel scénario aurait un impact grave sur la production agricole, la sécurité alimentaire, la santé humaine et la disponibilité de l’eau”, préviennent les auteurs du rapport, lit-on dans une dépêche de la MAP.
Le document affirme que d’importantes réductions des émissions mondiales sont la meilleure façon d’éviter des coûts d’adaptation inabordables. Il note, par ailleurs, que les ressources actuelles du continent ne sont pas suffisantes pour pallier les impacts prévus.
La publication du rapport du PNUE a coïncidé avec un débat de haut niveau du Conseil des droits de l’Homme sur “Les changements climatiques et les droits humains”, tenu à quelques mois du sommet crucial de Paris sur le climat.