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La justice espagnole rend trois arrêts dans l’ affaire Brahim GhaliAhmadou El-Katab
Jeudi 27 Mai 2021
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La justice espagnole a rendu, mardi 25 mai, trois nouveaux arrêts contre le chef du Polisario Brahim Ghali, entré dans le pays pour se faire soigner du coronavirus, indique le journal espagnol "El Mundo". La première décision concerne «le rejet d'une demande d'arrestation du nommé Brahim Ghali», interné dans un hôpital espagnol pour traitement depuis le mois dernier. Ce qui a provoqué la colère au Maroc. Selon la même source, la deuxième décision consiste à notifier au chef du Polisario une plainte pour «génocide» et autres crimes que le juge Piedraz a requalifiée il y a quelques jours, notamment après avoir reçu confirmation par la police de l’admission de l’accusé à l'hôpital «Logroño». Le juge a insisté sur le fait que Brahim Ghali doit désigner un avocat pour le représenter dans cette affaire le premier juin devant la Cour nationale. Selon El Mundo, ce dernier devra répondre suite à la plainte déposée par l'Association sahraouie pour la défense des droits de l'Homme. Quant à la troisième décision, il s'agit de demander à l'administration de l'hôpital «Logroño» dans lequel se trouve Brahim Ghali de se préparer à organiser une vidéoconférence, au cas où l'accusé resterait sur place et que les enquêteurs seraient incapables de l'amener personnellement à comparaître devant le tribunal mardi prochain. Des groupes de défense des droits de l'Homme et des Sahraouis accusent Brahim Ghali et d'autres dirigeants du Polisario de «génocide, de meurtres, de terrorisme, de tortures, de viols et d’implications dans des disparitions forcées». Pour sa part, le journal El Pais rapporte que le chef du Polisario a accepté de comparaître devant la justice espagnole à travers une vidéoconférence. De son côté, Masoud Ramadan, président de l'Association sahraouie pour la défense des droits de l'Homme, a déclaré que "la comparution de Brahim Ghali devant le tribunal, que ce soit en direct ou par liaison vidéo, est une bonne nouvelle pour les victimes du Polisario". Il a poursuivi: "Le juge Pedraz n'a pas procédé, comme nous l'avions demandé, à la confiscation de son passeport, ni à restreindre ses déplacements ou à l'empêcher de quitter le territoire espagnol." La justice traite avec beaucoup de prudence ce dossier, essayant de protéger les intérêts de l'Etat espagnol.
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