Autres articles
-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
L'ex-président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, est arrivé jeudi soir au Maroc en provenance de Côte d'Ivoire «pour un séjour d'une durée déterminée», a confirmé vendredi le gouvernement marocain.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération ne précise pas la durée de ce séjour. Il ajoute que Compaoré, qui a démissionné sous la pression de la rue, est accompagné de cinq personnes.
«Le Royaume du Maroc, qui a des liens historiques, humains et politiques forts avec le Burkina Faso, réitère son soutien au processus de transition dans ce pays», note également le ministère.
Blaise Compaoré, qui était au pouvoir depuis 1987, a démissionné le 31 octobre après des manifestations de masse contre un projet de modification de la Constitution qui devait lui permettre de se maintenir à la tête du pays à l'échéance de son mandat, fin 2015.
Il a gagné dans un premier temps la Côte d'Ivoire, où un porte-parole du gouvernement a annoncé jeudi soir son départ pour le Maroc. «Il sera toujours le bienvenu en Côte d'Ivoire. Nos portes lui seront toujours ouvertes», a-t-il ajouté.
Le communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération ne précise pas la durée de ce séjour. Il ajoute que Compaoré, qui a démissionné sous la pression de la rue, est accompagné de cinq personnes.
«Le Royaume du Maroc, qui a des liens historiques, humains et politiques forts avec le Burkina Faso, réitère son soutien au processus de transition dans ce pays», note également le ministère.
Blaise Compaoré, qui était au pouvoir depuis 1987, a démissionné le 31 octobre après des manifestations de masse contre un projet de modification de la Constitution qui devait lui permettre de se maintenir à la tête du pays à l'échéance de son mandat, fin 2015.
Il a gagné dans un premier temps la Côte d'Ivoire, où un porte-parole du gouvernement a annoncé jeudi soir son départ pour le Maroc. «Il sera toujours le bienvenu en Côte d'Ivoire. Nos portes lui seront toujours ouvertes», a-t-il ajouté.
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
