-
Le Maroc et la Chine instaurent un Dialogue Stratégique entre leurs ministères des Affaires étrangères
-
Le Maroc organise à Vienne un side-event de haut niveau à l’occasion du 20e anniversaire des conventions contre le terrorisme nucléaire
-
Driss Chahtane réélu pour un second mandat à la tête de l’ANME
-
L'USFP dans la région du Nord, ancrage territorial fort et offre politique cohérente et appropriée Tels sont les signaux envoyés par ses congrès provinciaux

Après plus de trois ans d’exercice, la gestion des affaires publiques du gouvernement Benkirane demeure entachée d’injustice, de partialité et de manque de respect à l’égard des citoyens. Le vécu des citoyens et tous les indicateurs émanant des instances nationales et internationales confirment de manière claire cette situation de confusion.
Le bilan du gouvernement Benkirane est des plus maigres, et ce à tous les niveaux et ses scandales politiques ne manquent pas, car il a opté pour un langage loin de la vérité et qui induit en erreur l’opinion publique. C’est un gouvernement qui ne dispose d’aucun programme et d’aucune vision claire d’un projet de société démocratique voulu et défendu par les Marocains qui ont voté à l’unanimité la nouvelle Constitution.
C’est pourquoi nous avons demandé au gouvernement de revoir sa conception du dialogue social en donnant plus de crédibilité, de légitimité et d’objectivité à ce moyen de dialogue au lieu de persister dans la logique des calculs politiques et de favoritisme. Nous avons demandé également de mettre en œuvre la loi sur les syndicats en conformité avec les dispositions de la Loi suprême notamment l’article 8, en vue de barrer la route devant ceux qui font commerce des droits de la classe ouvrière. ”