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L’«Association eau et énergie pour tous» (ASEET) organise demain matin samedi en partenariat avec la wilaya de Tanger et la commune urbaine de la ville, au siège de cette dernière, une conférence sous le thème « La problématique de l’eau et l’énergie au Maroc, entre gestion et gaspillage».
Cette initiative entre dans le cadre de l’intérêt que porte l’ASEET à la question de la gestion de l’eau et de l’énergie sur le plan national, qui prend de plus en plus d’ampleur du fait de l’accroissement de la demande sur ces deux matières vitales et de l’insuffisance constatée au niveau de la couverture du territoire national à cause de la sécheresse et la faiblesse des pluviométries, en particulier dans les régions oasiennes. Cette manifestation a pour objectif d’attirer l’attention des responsables en charge de ces deux secteurs pour trouver des solutions efficaces à ces problèmes, et également pour promouvoir une culture de sensibilisation à l’importance de la gestion de l’eau et de l’énergie et leur préservation.
Intervention
Le général espagnol Juan Antonio Chicharro a évoqué la possibilité d’une intervention militaire pour éviter la sécession en faisant allusion aux velléités indépendantistes des Catalans. Selon le journal espagnol « El Pais », ce général a confirmé « la patrie est antérieure et plus importante que la démocratie. Le patriotisme est un sentiment et la Constitution n’est plus qu’une loi ».
Dettes
Selon Mohamed Tarek Sebaii, président de l’Instance nationale pour la protection des deniers publics au Maroc, l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEEP) a une dette envers plusieurs prestataires et son patron, Ali Fassi Fihri, ne veut pas encore payer les 500 milliards de centimes qu’il doit à pas moins de 400 entreprises.
Ayant exécuté des travaux dans le cadre de marchés publics, celles-ci se trouveraient au bord de la faillite, en raison de ces impayés et auraient saisi en vain le chef du gouvernement et le ministre de l’Energie et des Mines.