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Spirituel, instrumental et mélodique, ce single au titre évocateur offre une formidable occasion à l’artiste d’accompagner ses fans dans l’ambiance ramadanesque du moment.
Après le succès des titres tels que «Janna Janna», «Elle et moi», «Chahlat Laayani», l’artiste enchaîne avec «Ya Allah», une chanson qui fait déjà parler d’elle à travers les ondes des radios nationales. Il faut dire qu’elle squatte depuis sa sortie plusieurs chaînes radios à la joie de nombreux auditeurs séduits par un titre au refrain accrocheur et aux paroles purement religieuses.
Le nouveau single de Mohamed Reda plonge l’auditeur dans un univers de méditations et de spiritualité dont on sort grandi. Un voyage en musique qui élève l’âme.
Issu d’une famille d’artistes originaires de la capitale spirituelle (Fès), Mohamed Reda s’intéresse très tôt à la musique. Quoique très jeune, il s’y met avec beaucoup de passion allant jusqu’à apprendre à jouer de tous les instruments à sa portée comme la guitare, le luth et le piano.
Tout aussi passionné des arts martiaux (full contact), Mohamed Reda a choisi de construire sa carrière dans la musique qu’il affectionne depuis toujours. C’est d’ailleurs pour cet objectif qu’il s’inscrit au Conservatoire de Marrakech pour 4 ans de formation. Avant de découvrir véritablement l’univers de la musique.
Avec obstination et abnégation, il parvient à se créer un espace et se distingue dans plusieurs manifestations culturelles organisées au Maroc et à l’étranger. Puis arrive l’heure des récompenses qu’il obtient au Festival de la chanson arabe de Casablanca (2000), Festival de Dubaï (2001) et Festival d'Alexandrie en Egypte (2004).
Bien qu’influencé par de grands noms de la chanson orientale et arabe, représentée par Mohamed Abdelouahab, Oum Kaltoum, Abdelhalim Hafez, il parvient en quelques années à construire une image et un style propre.
On reconnaîtra le talent du jeune artiste dès la sortie de son premier vidéoclip «Mawada». Classé parmi les hit-parades des chaînes marocaines, ce produit séduit rapidement le public.
Soucieux d’aller plus loin, il multiplie des rencontres et des duos dont un avec Amel Bent qui donnera naissance à « Crois en tes rêves ».
Lentement mais sûrement, l’on retrouvera l’enfant de Fès un peu partout continuant à défendre avec succès les couleurs de son pays. Et une musique qu’il a su dompter.