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La formule conçue sous la connotation "la musique partout et le concert nulle part", par un compositeur, journaliste et organisateur de festivals, Maurice Fleuret devenu avec l’avènement Lang, directeur de la musique et de la danse de son vivant, n’est en réalité qu’une reprise de celle, imaginée par un musicien américain et animateur radio en France, Joel Cohen qui proposait ses « Saturnales de la musique » aux jours des deux solstices.
Depuis, convertie en « Word Music Day » Fiesta de la Música, Festa della Musica ou en « Make Music » pour une traduction littérale, elle a été reprise dans les quatre ou plutôt cinq coins du globe par bien plus d’une centaine de nations. C’est ainsi, qu’à chaque soi-disant solstice d’été, artistes et mélomanes mobilisent les rues pour fêter en musique le jour le plus long de l’année dans l’hémisphère Nord.
Ici-bled, en cette année 2013, la fête concorde pleinement avec la 16e édition du Festival Gnaoua qui se déroule actuellement à Essaouira. Ce n’est pas une première et non plus un hasard si en ce 21 juin le pianiste cubain Omar Sosa et le maâlem Mahmoud Guinea, vont comme pour illustrer l’esprit même du Festival « Gnaoua et musiques du monde, jouer ensemble sur la scène de la place Moulay Hassan.
De par le monde, les manifestations populaires qu’engendre cette fête de la musique ou cette Journée mondiale de la musique, ont, en plus de permettre tous les genres musicaux, pour âme, la rue et le plein air.
« Y a d'la joie et du soleil dans les ruelles » qu’on vous dit !