-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Depuis le début de la vague du #MeToo, Woody Allen a été rattrapé par les accusations d'abus sexuels lancées par sa fille adoptive Dylan en 1992. Les poursuites à son encontre ont été abandonnées après deux enquêtes distinctes de plusieurs mois, menées à l'époque. Mais Dylan Farrow, soutenue par sa mère adoptive Mia Farrow et son frère Ronan Farrow, a renouvelé, début 2018, ses accusations, que Woody Allen a toujours réfutées. L'image du réalisateur oscarisé s'est également dégradée après une interview à la chaîne argentine Canal 13, diffusée en juin 2018, dans laquelle il estimait qu'il avait le profil pour être un héros du mouvement #MeToo.
Son image étant brouillée, Woody Allen a vu plusieurs acteurs et actrices qui ont travaillé avec lui prendre leurs distances publiquement et indiquer qu'ils ne souhaitaient plus collaborer avec lui. Début février, il a assigné en justice le groupe Amazon pour rupture abusive de contrat, reprochant au géant d'Internet d'avoir mis fin à leurs accords de production. Amazon a confirmé avoir rompu son engagement, qui portait sur le financement de quatre films et 68 millions de dollars au total, justifiant sa décision par des "accusations répétées" visant le metteur en scène et ses "déclarations controversées". La procédure suit son cours et un procès pourrait avoir lieu en 2020.








Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
