
-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Ces morceaux viennent de 23 albums sortis entre 1995 ("The Gold Experience") et 2010 ("20Ten") et d'une nouvelle compilation préparée pour l'occasion. Les ayants droit de Prince, qui de son vivant était opposé à la large diffusion en ligne de sa musique, ont trouvé un accord avec le label Legacy Recordings, une division de Sony Music. "Beaucoup de ces albums, tant attendus par les fans et les collectionneurs, sont disponibles pour la première fois en streaming et en téléchargement, ajoutant plus de 300 morceaux de Prince à son catalogue en ligne", a indiqué Legacy dans un communiqué.
Depuis la disparition soudaine du chanteur en avril 2016, ses héritiers --ses frères et soeurs-- se sont entendus avec les trois plus grandes maisons de disques, Sony, Universal et Warner, pour commercialiser l'héritage du "Kid de Minneapolis".
Pendant la plupart de sa carrière, Prince était pourtant farouchement opposé aux pratiques de l'industrie musicale. Au milieu des années 1990, il avait ainsi notamment claqué la porte de Warner avant de se montrer avec le mot "slave" (esclave) écrit sur la joue.
Le magazine spécialisé Variety note cependant que l'un des plus gros tubes de Prince de cette période, "The Most Beautiful Girl in the World", sorti en 1994, ne figure pas parmi les chansons mises en ligne vendredi. Selon une source anonyme, le morceau est au coeur d'un litige judiciaire.