-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
-
Larache s’apprête à accueillir le Festival international Entrerritimos
-
Vol de bijoux au Louvre: Les cambrioleurs traqués, le musée sous pression
Saxophoniste de jazz, explorateur des musiques métissées, Manuel Hermia a séjourné à plusieurs reprises en Inde, où il a découvert le «bansuri», grande flûte traversière indienne classique.
Cette rencontre instrumentale a donné le CD «Le Murmure de l’Orient» où l’artiste nous plonge dans un univers intérieur profond et calme, où la musique reprend son temps. Les compositions prennent néanmoins une direction propre, celle d’un regard personnel sur la musique indienne. Et avec son album «Rajazz», Manuel Hermia nous offre un univers influencé à la fois par le jazz et les ragas indiens.
C’est sous le même label «Igloo», que l’on trouve les œuvres de Majid Bekkas, digne représentant de la culture gnaouie, issue du métissage des cultures arabo-berbères et noires africaines. A mi-chemin entre tradition et modernité, Majid Bekkas allie la musique gnaouie et le blues afro- américain avec la plus grande souplesse.
Ouvert l’un comme l’autre à diverses sources d’inspiration, Majid Bekkas et Manuel Hermia seront accompagnés des percussionnistes Abdelfattah Houssaini (percussions marocaines) et Fabrice Colet (tablas). Ils croiseront sur scène leurs registres musicaux qui s’expriment autant dans une musique extravertie à vocation libératrice que sur un mode musical méditatif et délicat : mélange de jazz, musique gnaoua, ragas indiens, blues afro-américain. Voyage dans la musique. Voyage dans l’émotion.








Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
