Autres articles
-
25ème Festival Gnaoua d'Essaouira. Instrumentistes virtuoses et shows scéniques à l’affiche
-
Tanger à l'heure du "House of Beautiful Business Festival"
-
Le patrimoine culturel et civilisationnel du Maroc à l'honneur au Guatemala
-
L’ENS de Meknès célèbre l’écrivain marocain Abdelfattah Kilito
-
"Opération Madonna". Rio prête à accueillir un concert géant de la star
Un « Je » raconte (ou se raconte) le vécu d'une mémoire à travers les réjouissances, les échecs, l'attachement à la vie. Il dialogue avec celui qui fut lui-même, interroge le reste à survivre et s'invente les souvenirs du paradis ou de l'enfer. C'est un texte presque testamentaire où il est question de la vie intense et de la mort imprévisible. Y cohabitent les genres autour de la narrativité, chahutant le rythme, la
mise à distance et l'usage des parenthèses pour dire une conversation intérieure.
Mohamed Laakira est né en 1945 à Marrakech. Poète et écrivain, il est membre de groupes et collectifs culturels, s'intéresse et écrit sur les arts plastiques au Maroc.
Il a assumé dans l'administration marocaine plusieurs responsabilités, notamment la direction des arts au ministère de la Culture.
Il est lauréat du Prix Grand Atlas, poésie, 1995 et du Prix Grand Atlas, roman, 2010.
mise à distance et l'usage des parenthèses pour dire une conversation intérieure.
Mohamed Laakira est né en 1945 à Marrakech. Poète et écrivain, il est membre de groupes et collectifs culturels, s'intéresse et écrit sur les arts plastiques au Maroc.
Il a assumé dans l'administration marocaine plusieurs responsabilités, notamment la direction des arts au ministère de la Culture.
Il est lauréat du Prix Grand Atlas, poésie, 1995 et du Prix Grand Atlas, roman, 2010.